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Indonésie

Aceh : la désolation toujours 3 semaines après le tsunami

Trois semaines après le tremblement de terre et le raz-de-marée qui a ravagé la province d’Aceh dans le nord de l’île de Sumatra en Indonésie, l’aide humanitaire s’est mis en place dans un territoire où les côtes ont été littéralement balayées par la catastrophe. Sous les pluies incessantes, dans les ruines de Banda Aceh, la ville principale du nord de la province, le reportage photo de Jean-Luc Luyssens et les reportages audio des envoyés spéciaux de RFI, Frédérique Misslin et Manu Pochez.
Sur l’aéroport de Banda Aceh, plusieurs organisations humanitaires ont installé des hôpitaux de campagne pour porter assistance aux rescapés.
(Photo : Jean-Luc Luyssens)
Les pluies incessantes rendent la vie quotidienne encore plus difficile dans les camps montés par les organisations humanitaires comme celui de la Croix rouge française à Sigli.
(Photo : Jean-Luc Luyssens)
Des milliers de cadavres sont encore ramassés chaque jours dans les ruines de la province d’Aceh. Au total, plus de 100 000 personnes ont trouvé la mort en Indonésie ce dimanche 26 décembre.
(Photo : Jean-Luc Luyssens)
La ville de Banda Aceh comptait 110 000 habitants avant le tremblement de terre et le tsunami. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 40 000.
(Photo : Jean-Luc Luyssens)
Des portions entières de la ville de Banda Aceh ont été rayées de la carte.
(Photo : Jean-Luc Luyssens)
Le déblaiement des ruines prendra encore des semaines, voire des mois.
(Photo : Jean-Luc Luyssens)

Article publié le 14/01/2005 Dernière mise à jour le 14/01/2005 à 16:05 TU

Audio

Frédérique Misslin

Journaliste à RFI

«Banda Aceh est une ville de 110 000 habitants, il en reste 40 000»

Frédérique Misslin

Envoyée spéciale à Banda Aceh

«Les victimes du tsunami souffrent toutes de séquelles psychologiques.»

Frédérique Misslin

Envoyée spéciale à Banda Aceh

«Depuis l'aéroport de Banda Aceh, des équipes humanitaires tentent de porter secours aux victimes inaccessibles par la route.»

Frédérique Misslin

Envoyée spéciale à Banda Aceh

«Le gros souci c'est la disponibilité des produits de première nécessité.»