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Carte postale

Sur la route du Dakar 2006

Au détour de la route du rallye Dakar 2006, les envoyés spéciaux de RFI, Olivier Chermann et Philippe Nadel, s'attardent sur ces coins d'Afrique que les concurrents de la course n'auront pas le temps de découvrir.
La carte postale du jour nous emmène aujourd'hui à Tambacounda dans le Sénégal oriental. Une ville de 20 000 habitants. Le nom de Tambacounda proviendrait du roulement de tam-tam. Gros plan sur la fabrication d'un djembé tout à fait artisanal.

Tambacounda, 13e étape

«Malik installe la peau de chèvre, la laisse séchée au soleil et ensuite il teste le son du djembé.»

Outils rudimentaires, nécessaires à la fabrication d'un djembé.(Photo : P. Nadel / RFI)
Outils rudimentaires, nécessaires à la fabrication d'un djembé.
(Photo : P. Nadel / RFI)

La mise en place de la peau. A droite, le produit fini.(Photo : P. Nadel / RFI)
La mise en place de la peau. A droite, le produit fini.
(Photo : P. Nadel / RFI)


 
Le Dakar fait halte à Labé en Guinée. Là, dans le quartier des artisans se préparent les plus belles étoffes...

Labé, 12e étape

«C'est un quartier d'artisans très pauvres.»

Préparation du tissu avant la teinte.(Photo: Philippe Nadel/RFI)
Préparation du tissu avant la teinte.
(Photo: Philippe Nadel/RFI)

 

A gauche, teinte des tissus et à droite, séchage en plein air des étoffes.(Photos: Philippe Nadel/RFI)
A gauche, teinte des tissus et à droite, séchage en plein air des étoffes.
(Photos: Philippe Nadel/RFI)

 

Exemples de réalisations.(Photo: Philippe Nadel/RFI)
Exemples de réalisations.
(Photo: Philippe Nadel/RFI)



Découverte du marché central de Bamako, véritable poumon économique de la capitale, où les Maliens viennent acheter toutes sortes de produits et notamment des gris-gris, médicaments traditionnels, prescrits par un féticheur.

Bamako, 11e étape

«Tous les animaux ont un don de Dieu, un pouvoir.»

Le marché de Bamako.(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Le marché de Bamako.
(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Parmi les carcasses de tortues,des têtes de singes,de vautours, et des peaux de hérissons.(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Parmi les carcasses de tortues,des têtes de singes, de vautours, et des peaux de hérissons.
(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Têtes de caïmans.(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Têtes de caïmans.
(Photo : Ph. Nadel/RFI)

En ce mardi, les rues de Kayes, la capitale du Mali occidental, sont en fête. Chants et danses résonnent dans la ville. Les habitants se sont regroupés sur la grande place du centre-ville pour fêter l'Aïd el-Kebir ou la Tabaski qui commémore pour les musulmans le sacrifice d'Abraham.

Kayes, 10e étape

«Au-delà du rituel du sacrifice, la Tabaski est l’occasion d’une grande fête qui dépasse le cadre familial.»

Contrairement à l’habitude, les rues du marché sont vides (gauche)… <br />La population est regroupée dans le centre-ville pour préparer le déjeuner de la fête. (droite)(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Contrairement à l’habitude, les rues du marché sont vides (gauche)…
La population est regroupée dans le centre-ville pour préparer le déjeuner de la fête. (droite)
(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Après la découpe du mouton, le barbecue.(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Après la découpe du mouton, le barbecue.
(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Avant la cuisson !(Photo : Ph. Nadel/RFI)
Avant la cuisson !
(Photo : Ph. Nadel/RFI)

Le Dakar nous emmène aujourd’hui au sud-est de la Mauritanie, à Kiffa, une ville connue pour sa tradition des perles de verre. Khadija est l’une des dernières femmes de Kiffa à confectionner des perles de façon ancestrale. Son atelier est une grande tente installée dans le sable devant sa modeste maison loin du centre-ville.

Kiffa, 9e étape

«En plus de leur valeur esthétique, les perles triangulaires et multicolores, auraient un pouvoir magique.»

Une boule grossière qui deviendra une perle. Exemples de colliers et bracelet en perle de Kiffa.(Photo : Ph.Nadel/RFI)
Une boule grossière qui deviendra une perle. Exemples de colliers et bracelet en perle de Kiffa.
(Photo : Ph.Nadel/RFI)
Le travail des perlières de Kiffa. <br />A droite : Khadija peint en bleu la perle qu'elle vient de fabriquer.(Photo : Ph.Nadel/RFI)
Le travail des perlières de Kiffa.
A droite : Khadija peint en bleu la perle qu'elle vient de fabriquer.
(Photo : Ph.Nadel/RFI)

Le Dakar est une grande aventure humaine, une énorme opération financière mais c’est aussi de l’aide et de l’action humanitaire pour les populations africaines. Les concurrents soutiennent l’action d’associations et d’ONG. Exemple : la formation Mitsubishi sport a décidé cette année d’aider l’association Mécénat chirurgie cardiaque en prenant entièrement en charge l’opération chirurgicale de sept enfants africains atteints de malformation cardiaque. Un geste apprécié par la présidente de l’association, le professeur Francine Leca.

Nouakchott, 8e étape

«Nous opérons actuellement environ 140 enfants par an. Nous pourrions opérer plus s’il y avait plus d’argent.»

A gauche : le professeur Leca et l’équipe Mitsubishi. <br />A droite : Abdou Thiam et sa voiture.(Photo : Ph. Nadel/RFI)
A gauche : le professeur Leca et l’équipe Mitsubishi.
A droite : Abdou Thiam et sa voiture.
(Photo : Ph. Nadel/RFI)

 

La pêche traditionnelle est l'une des principales ressources de la Mauritanie, car c'est une des zones les plus poissonneuses du globe. La pêche représente 47% des recettes d'exportation du pays et 6% du produit intérieur brut... On l'estime à 656 000 tonnes par an.

Nouakchott, 8e étape

«Sur la plage, des monticules de sardines, de maquereaux, de dorades, de thons et de soles.»

Après la pêche, il faut remonter la pirogue sur la plage.(Photo : P Nadel/RFI)
Après la pêche, il faut remonter la pirogue sur la plage.
(Photo : P Nadel/RFI)
Une camionnette bien remplie.(Photo : P Nadel/RFI)
Une camionnette bien remplie.
(Photo : P Nadel/RFI)
Un repos bien mérité.(Photo : P Nadel/RFI)
Un repos bien mérité.
(Photo : P Nadel/RFI)
Exemple de pirogue décorée.(Photo : P Nadel/RFI)
Exemple de pirogue décorée.
(Photo : P Nadel/RFI)

Dans la ville d'Atar, au centre de la Mauritanie, Olivier Chermann et Philippe Nadel ont rencontré une association appelée « Les enfants du désert ». Des bénévoles procurent à des enfants déshérités des quartiers très pauvres de la nourriture, des soins, des jeux et de l'eveil.

Atar, 7e étape

«Dans une cour ensablée, une vingtaine d'enfants de 2 à 10 ans apprennent des chansons avec Aïcha»

Les animatrices et les enfants du centre.(Photo : P Nadel/RFI)
Les animatrices et les enfants du centre.
(Photo : P Nadel/RFI)
A gauche : Une maman amène son enfant à l’association.<br />A droite : Les enfants autour d’une animatrice apprennent quelques mots de français.(Photo : P Nadel/RFI)
A gauche : Une maman amène son enfant à l’association.
A droite : Les enfants autour d’une animatrice apprennent quelques mots de français.
(Photo : P Nadel/RFI)
On chante, on danse, on s'amuse,...(Photo : P Nadel/RFI)
On chante, on danse, on s'amuse,...
(Photo : P Nadel/RFI)


Le Dakar quitte Tan-Tan au Maroc pour arriver à Zouerate en Mauritanie. Dans une petite rue de cette ville se trouvent des coopératives où les femmes confectionnent des bijoux aussi bien en or, qu’en argent, en ivoire, en ébène ou encore en corne. Chacune des femmes a sa tâche.

Zouerate, 6e étape

«Ce système de coopérative est bénéfique pour tout le monde. L’argent gagné est réinvesti pour racheter de nouveaux matériels.»


Leila entrain de poncer une pierre.(Photo : P Nadel/RFI)
Leila entrain de poncer une pierre.
(Photo : P Nadel/RFI)
A droite : femme mauritanienne présentant un exemple de teinture. <br />A gauche : présentation des travaux réalisés.(Photo : P Nadel/RFI)
A droite : femme mauritanienne présentant un exemple de teinture.
A gauche : présentation des travaux réalisés.
(Photo : P Nadel/RFI)
Tissage traditionnel d’un tapis en laine.(Photo : P Nadel/RFI)
Tissage traditionnel d’un tapis en laine.
(Photo : P Nadel/RFI)

Le Dakar nous emmène aujourd'hui à Tan-Tan, dans le sud du Maroc. Mais néanmoins non loin de l'océan Atlantique où les touristes européens sont venus par milliers pour voir le rallye.

Tan-Tan, 5e étape

«On est venu à Tan-Tan voir le Dakar, mais dans le cadre d'un voyage au Maroc. On est retraité et on vient passer trois mois dans le pays.»

Les camping-car sont installés à l'entrée de l'aéroport.(Photo : P Nadel/RFI)
Les camping-car sont installés à l'entrée de l'aéroport.
(Photo : P Nadel/RFI)
Line et son chien au micro d'Olivier Chermann. A droite, organisés, les campeurs emmènent avec eux de quoi se déplacer plus aisément.(Photo : P Nadel/RFI)
Line et son chien au micro d'Olivier Chermann. A droite, organisés, les campeurs emmènent avec eux de quoi se déplacer plus aisément.
(Photo : P Nadel/RFI)
A l'arrivée des voitures du Dakar.(Photo : P Nadel/RFI)
A l'arrivée des voitures du Dakar.
(Photo : P Nadel/RFI)

La route du 28e Paris-Dakar nous emmène aujourd'hui à Ouarzazate, dans le sud du Maroc, aux portes du désert. Ouarzazate qui est devenue l'une des capitales mondiales du cinéma.

Ouarzazate, 4e étape

«Aux pieds des montagnes aux cîmes encore enneigées, se dressent sur le sable des temples pharaoniques, des sphinx et de grands scarabés.»

L'entrée des studios de Ouarzazate. A droite, l'avion des <em>Diamants du Nil</em> et le temple tibétain de <em>Kundun</em>.(Photo : P Nadel/RFI)
L'entrée des studios Atlas de Ouarzazate. A droite, l'avion des Diamants du Nil et le temple tibétain de Kundun.
(Photo : P Nadel/RFI)
 
Décors du film d'Alain Chabat, <em>Astérix et Obélix : mission Cléopâtre</em>. A droite l'envers du décor.(Photo : P Nadel/RFI)
Décors du film d'Alain Chabat, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre. A droite l'envers du décor.
(Photo : P Nadel/RFI)

 


Alors que le rallye roule pour le premier jour en terre africaine, notre envoyé spécial Olivier Chermann s'est rendu dans la région d'Er Rachidia, au Maroc, près d'une source mystérieuse qui lui a livré ses secrets...

Er Rachidia, 3e étape

«On l'appelle la source bleue parce que les hommes bleus, les nomades, ont construit cette source.»

Vue d
Vue d"ensemble de la source bleue.
(Photo : P Nadel/RFI)
 
En cette période hivernale le calme règne ici. Pas de touristes, pas de visiteurs. A droite, la source bleue, son bassin, ses cours d'eau irriguent idéalement la palmeraie.(Photo : P Nadel/RFI)
En cette période hivernale le calme règne ici. Pas de touristes, pas de visiteurs. A droite, la source bleue, son bassin, ses cours d'eau irriguent idéalement la palmeraie.
(Photo : P Nadel/RFI)


Article publié le 03/01/2006 Dernière mise à jour le 14/01/2006 à 17:10 TU