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Votre hommage à Boris Fleuranceau (3)

Article publié le 31/08/2007 Dernière mise à jour le 31/08/2007 à 16:28 TU

Boris Fleuranceau(Photo : RFI)

Boris Fleuranceau
(Photo : RFI)

Boris Fleuranceau, grand reporter au service Afrique, est décédé jeudi 30 août 2007. Il avait 35 ans. Vous avez été très nombreux à nous écrire pour nous dire votre peine. Retrouvez ici l'ensemble de ces hommages.

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Grande perte pour RFI et notamment pour l'Afrique. Homme de reportage et de l'aventure. Boris nous aura instruits sur sa compétence et sa rage d'informer. Condoléances à sa famille.
Bagaman (Abidjan, Côte-d’Ivoire)

A Boris
Jeune de mon âge, tu aurais pu être un ami
Journaliste, au service des autres tu as donné ta vie
Pour l'amour de l'Afrique, tu étais donc un frère
Pour ne t'avoir rien donné, voici nos prières
Que Dieu qui aime tous les Hommes
Te reçoive comme un fils en son Royaume
Que ta famille et tes amis qui vivent ce drame
Soient consolés en ce temps de larmes
Vers vous vont nos plus belles pensées
Merci pour ce que tu nous a donné
Merci à la radio du monde
Merci pour ce frère des ondes
En ces moments , en cet instant
Au delà des mot qu'emporte le vent
Du Centrafrique on peut te promettre
Qu' Après toi rien ne doit disparaître
Patrick (Bangui, RCA)

C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès de Boris des suites d’une crise de paludisme. Toutes mes condoléances à sa famille, sa compagne et sa fille et toute la rédaction de RFI.
Fanta DOUMBIA, Présidente de l’Association des Femmes en Lutte contre l’Anophèle (Bamako, Mali)

Cher RFI. J’aimerais vous présenter mes condoléances au propos de la disparition de votre confrère Baurice Floranso. Vraiment je suis désolé en tant que auditeur de RFI, plus désolé en tant que africain. Et je me profite de cette occasion pour lancer un message à toute l’Afrique. Mobilisons-nous pour nous battre contre le paludisme, qui ravage le continent. Faisons nous simplement cette geste pour notre intérêt, si non faisons la en faveur des amoureux du continent .ceux qui n'hésitent pas de venir nous tendre la main, ceux qui vient sans avoir le moindre crainte de nos maladie...des nôtres... Que la terre lui soit légère.
Mame Alassane (Tunis, Tunisie)

Cher tout le staff chez RFI. Les nouvelles de décès de Mr Fleuranceau m'ont choqué si brutalement. J'aimais beaucoup d'entendre ses reportages sur les ondes, partout où je voyage dans le monde. Combien nous, les humanitaires, apprécions et comptions sur lui! Sa disparition est une perte immense. Pensant a sa femme et sa petite fille, cela me donne une tristesse déchirante. Veuillez envoyer mes plus sincères sentiments de condoléances à la famille de Mr Fleuranceau, ses proches et tous ses collègues qui l'aiment.
Etsuko (Okayama, Japon)

Que Dieu t’accorde dans son paradis Dors en Paix Boris
Souleymane (Bamako, Mali)

C'est avec une très grande peine que je viens d'apprendre le décès tragique de Boris Fleuranceau. J'ai connu cet éminent journaliste de RFI lors des dernières législatives de Mars 2007 au Bénin. Je m'attendais à revoir Olivier Rogez qui avait fait un travail extraordinaire un an plutôt, lors des présidentielles béninoises. Mais tout de suite ma déception a été dissipée, car j'avais été frappé par la qualité de ses reportages. Plus tard lors de la crise ivoirienne, il a été très présent par son impartialité en donnant des informations hautement appréciées par tous. Cher Boris, comme certains de tes illustres prédécesseurs, ta passion pour l'Afrique t'a emporté à travers une maladie qui rarement fait des victimes adultes. Mais saches tu n'es pas mort pour rien. A ton épouse et à ton enfant, je souhaite beaucoup courage en leur disant qu'il y a bien une autre vie après la mort.
Eugène (Cotonou, Bénin)

Je suis vraiment touchée par la disparition de Boris Fleuranceau .C'était un grand journaliste, un vrai professionnel.je présente mes condoléances à toute sa famille et aux journalistes de RFI. MERCI A TOI BORIS. Je vous porterai dans mes prières. Que le Seigneur l'accueille dans son paradis.
Jacqueline (Courcouronnes, France)

Par ma voix toute la jeunesse de l'Afrique se joint à la rédaction de RFI pour présenter sa condoléance à toute la famille et les proches de Boris Floranseau
Cheikh Amadou (Bissau, Guinée-Bissau)

 

Bonjour à toute l'équipe de RFI.
Je me joins à vous pour exprimer ma tristesse suite à ce décès à la fleur de l'âge de Boris Fleuranceau. J'écoute RFI tous les jours surtout Afrique matin qui ne m'échappe jamais, après David Ndachi Tagne, on vient de perdre un grand journaliste. Je l'ai appris très tôt ce matin au journal de 05h30. Alors veuillez agréer mes condoléances. Beaucoup à l'équipe de RFI pour surmonter cette nouvelle épreuve. Mes condoléances à sa famille aussi. Que son âme repose en paix. Je ne peux terminer ma réaction sans dire ceci « A la naissance l'enfant crie ou pleure, à sa mort les autres pleurent, on doit se comporter sur cette terre de façon à ce que le jour où nous la quittons que nous sourions alors que les autres pleurent notre disparition » Que Boris soit en train de sourire de l'autre côté. Bon courage à vous et à nous tous pour surmonter cette épreuve
Mohamadou (Yaoundé, Cameroun)

J'ai été comme tout un chacun, je pense émue par le départ de Boris. En outre je suis grandement choquée, outrée... d'apprendre qu'il meurt d'une crise même si elle est comme vous l'avez annonce aigue de paludisme. Plusieurs questions ont traverse mon esprit a cet instant, dont la première fut le lieu du décès , très vite par vos antennes j'ai appris que c'était en Europe( Florence- Italie) cela m'as choquée, m'a fait me poser plusieurs questions. On se moque vraiment des peuples et particulièrement des peuples d'Afrique. Comment le paludisme qui tue des centaines de personnes dans le monde tous les mois (bien sur dans le Tiers monde) est si mal connu ? Est-ce à dire qu'il n'existe pas de véritables groupe de recherche, qui statuent sur le problème donc aucun fond consistant alloués a l'éradication de l'anophèle en zone urbaine ? Que ton départ sois un éveil, une chance pour l'éradication du paludisme dans le monde.
Christian (Yaoundé, Cameroun)

J'ai été très peiné d'entendre la triste nouvelle hier à la 1ère édition d'Afrique soir. Boris Fleuranceau était un journaliste que j'appréciais énormément pour la qualité de ses reportages et par le courage dont il faisait preuve. Sa voix chaude et enjouée va beaucoup me manquer. Adieu Boris! L'Afrique ne t'oubliera JAMAIS!!!!!!
Daniel (Libreville, Gabon)

Le journal hebdomadaire malien Liberté présente à RFI et à la famille de Boris ses condoléances; Boris à travers ses nombreux et excellents reportages à travers l'Afrique faisait montre d'une grande qualité à laquelle il faut ajouter son amour pour le continent noir...
Abdoulaye Ladji Guindo,Amadou Salifou Guindo,Békaye Traoré,Mohamed Lamine Keita,Boubacar Sanogo et au nom de l'ensemble de la presse malienne.(Bamako, Mali)

Je joins ma voix à celle de RFI pour adresser à la famille de Boris, à sa fille et à tous ses collaborateurs durement éplorés mes condoléances les plus émues.
Souleymane (Ségou, Mali)

C'est avec tristesse, regret que j'ai appris le décès de Boris que j'appellerais l'Africain. Permettez moi de présenter mes condoléances à toute l'Afrique puisse c'est à cause de notre cause dont Boris a été victime notamment (contracter le paludisme lors de ses missions en Afrique); on ne peut que lui rendre hommage, c'est un devoir. Puis nos condoléances à sa famille, l'équipe RFI puis l'équipe africaine de RFI qui n'a cessé de nous toujours dans les conditions pour suivre l'actualité aussi en direct que des reportages exemplaires. Je ne saurai terminer sans dire un mot mes pensées vont aussi à nos amis RFI qui nous ont quittés. Boris que la terre te soit légère et que dieu t'accueille dans son paradis.
Samba (Nouakchott, Mauritanie)

Très touchée par cette disparition, je présente mes condoléances à la famille du feu Boris et à tous ses collègues de la radio. Nous africains ne pourrions l'oublier surtout nous Tchadiens pour ses divers reportages sur l'Afrique notamment au Tchad sur la crise au Darfour. Que son âme repose en paix!
Merveille (N'djamena, Tchad)

C'est avec grande tristesse que j'ai appris le décès de Boris. Je suis d'autant plus triste que dans le dossier ivoirien dont il avait la charge, il n'hésitait pas à m'appeler pour avoir plus de renseignement, étant donné que je suis journaliste moi aussi. Adieu Boris
Marc (Abidjan, Côte-d’Ivoire)

Bonjour, je suis Godlove, journaliste en service à Radio & Télévision Equinoxe ; nous sommes basés à Douala au Cameroun. Eh bien lorsque j'ai appris la mort de Boris Fleuranceau sur votre site auquel je suis fidèle, j'ai été profondément touché parce que les élections législatives et municipales du 22 Juillet au Cameroun sont l'un des derniers évènements qu'il a couverts en Afrique. Il est d'ailleurs passé par notre salle de rédaction à cette occasion. Je n'insisterai pas sur ses qualités indiscutables de « bosseur » mais je voudrais saluer votre sympathie dans la présentation des causes du décès de cet excellent confrère. En effet, en parlant de paludisme contracté par le défunt dans l'un de ses reportages en Afrique et ce depuis 3 semaines, je crois que la ville de Douala y est pour quelque chose. Les gros moustiques de cette ville ont dû avoir raison de ce reporter que je n'oublierai jamais.
Godlove (Douala, Cameroun)

Grand auditeur de RFI, mes condoléances à RFI ainsi qu'a tous les auditeurs.
Gaston (Kole, RDC)

J'aimerais présenter mes sincères condoléances à la famille éplorée, surtout à sa compagne et sa jeune fille. Je suis auditeur de RFI et surtout du journal Afrique et je suis profondément éprouvé par cette perte.
Hyppolite (Sophia Antipolis, France)

J'ai appris avec beaucoup de regrets depuis hier le décès de ce grand homme d'une voix extraordinaire qui vient de disparaitre Boris Fleuranceau. J'écoutais ses reportages et ses grands journaux sur l'Afrique et le monde à chaque moment. A sa famille éprouvée je vous adresse mes condoléances les plus attristées que la terre lui soit légère et que son âme lui repose en paix. A Dieu Boris.
Sidy (Ségou, Mali)

C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris la nouvelle du décès de Boris. Je me joins même de loin à toute sa famille, particulièrement sa compagne et sa petite fille, ses amis et ses confrères de RFI éprouvés. J'aimais à l'écouter souvent et il faisait parti de "ma famille" car c'était une voix familière. Je suis très triste. Je voudrais aussi à travers ses lignes encourager tout le personnel de RFI qui fait un travail merveilleux au prix même de leur vie. Que l'âme de Boris repose en paix.
Dodi-François (Kinshasa, RDC)

Avons appris avec tristesse décés du journaliste talentueux Boris Florenceau. Partageons douleurs et regrets. Prions pour le repos de son âme en paix.
Falilou (Dakar, Sénégal)

Mes condoléances à la rédaction de rfi pour cette disparition prématurée de notre confrère. Je l'ai connu lors de son dernier voyage au Tchad. Il était venu pour me demander me rencontrer au ministère de la communication. Il voulait avoir des autorisations pour se rendre à l'est. Paix à son âme.
Daniel (Ndjamena, Tchad)

Suite au décès du journaliste Boris Fleuranceau, au nom de ma famille et au mien propre je présente nos sincères condoléances à sa famille biologique ainsi qu'à toute la famille RFI. Que son âme repose en paix.
Joachim (Lubumbashi, RDC)

Auditrice inconditionnelle de RFI qui a souvent suivi ses reportages ,je présente mes condoléances à la famille de Boris qui a perdu un être cher et aimé et à RFI un reporteur remarquable. Que son âme repose en paix et que le tout puissant l'accueil dans son royaume.
Nicole (Kinshasa, RDC)

Je ne savais pas s'il avait mon âge, car à entendre le professionnalisme qui transpirait de ses reportages, vraiment je ne sais pas traduire mon émotion, il est mort en martyr en acceptant de venir souffrir d'une maladie qui n'existe plus chez lui ou presque. Comme Jean Hélène il restera à jamais dans ma mémoire et celle de ma famille.
Isidore (Bukavu, RDC)

Je suis centrafricain vivant en Chine depuis trois ans .j'écoute rfi tous les jours sur internet. Boris bien que je ne l'ai jamais vu mais je suis familier à sa voix. Je suis complètement bouleversé par l'annonce de sa disparition précoce et brutale. A sa compagne,sa petite fille, toute sa famille et toute l'équipe de rfi mes condoléances les plus émues . Que son âme repose en paix !
Abakar (Nanning, Chine)

C'est avec une grande tristesse que je viens d'apprendre la rapide et soudaine disparition de Boris Floranceau. Je tiens à adresser à sa famille, à RFI et à tous ses proches mes sincères condoléances.
Stéphane (France)

Je suis très attristé, inconsolable suite au départ prématuré de Boris. Cette voix monocorde, calme, quasi pieuse s'est éteinte à fleur de l'âge, je n'en reviens pas: j'en reste sidéré, gravement brisé. Mais aussi confus à cause de la maladie africaine qui l'a emportée, la malaria. Cette grave maladie des pauvres de l'Afrique noire dont savent bien se garder les blancs qui y vivent. Le brave reporter de Radio France Internationale a aimé cette Afrique ainsi que ses pauvres noirs. Il n'a pas été épargné comme beaucoup d'autres milliers des noirs, petits et grands, qui disparaissent chaque jour de cette maladie douloureuse et exigeante aussi bien dans sa prophylaxie que dans son traitement. Hommage au jeune frère Boris, honneur à cet héros blanc de l'Afrique, mort pour le travail et la passion de l'Afrique. Que RFI et sa famille trouve ici la compassion et les condoléances d'un ami-inconnu de Boris et de RFI de depuis 34 ans, alors j'ai 11 ans (de l'époque de Jacques Chancel, Jacques About). A Dieu gloire et honneur!
Weber (Kisangani, RDC)

Je réagis par rapport a la mort de Boris Fleuranceau, je suis profondément touché par la disparation ce cet immense journaliste qui connaissait tant bien l'Afrique comme sa poche. Je suis originaire du Congo Brazzaville et avant de partir pour la France en 2004 pour continuer mes études, c'est la ou j’ai commencé à m'adapter a sa voix qui m'étais devenu familière , et la je suis au Canada pour y finir mes études et je continus a écouter la radio mondiale sur internet alors je suis moi aussi en deuil parce que la radio mondiale continue a perdre des journalistes qui font la fierté du service Afrique de RFI mes condoléances a la radio mondiale ainsi que a sa compagne et sa petite fille de 2ans c’est une voix qui s'en va et je suis profondément affecté merci à RFI
José (Ottawa, Canada)

Un bref au revoir. Les chrétiens croient à la résurrection sur la terre et tous les justes jugés par Jéhovah Dieu seront ressuscités. Et j`espère que Boris va être ressuscité sur la Terre. Parce que ces promesses sont faites par Dieu et non par les hommes. Il avait du courage en travaillant en Afrique sans idées préjugées. Il était évidement un grand homme. Ici du Brésil va nos adieux pour toi Boris.
Jaime (Boa Vista, Brésil)

Profondément touché par la disparition de Mr Fleuranceau Boris, je présente toutes mes condoléances à sa famille et à rfi, pour cet homme courageux.
Kémo (Cachan, France)

J'ai picolé toute la soirée en me disant qu'il ne fallait pas tirer la gueule par respect pour ta bonne humeur, c'est raté, je chiale comme un con, enfin bon, il fallait bien qu'un mec de gauche casse sa pipe, histoire de leur calmer les arpèges après Barre et Mesmer.
Antoine, un sous réaliste.
Antoine (Paris, France)

Si jeune... La plupart de vos journalistes et reporters sont si pertinents que je les imagine d'âge mûr, du haut de mes 38 ans, vous comprenez ? Un paludisme attrapé sur le terrain, les risques du métier, tout ça... J'ai beaucoup de respect pour ces travailleurs de l'information. Au delà des condoléances, merci RFI
Caroline (Paris, France)

Mes condoléances à sa famille et à toute son équipe de rfi. je suis en pleurs, après je pourrai bien exprimer
Ibrahim (Ouagadougou, Burkina-Faso)

Je suis très touchée, je l'aimais beaucoup. Je suis une de vos auditrices et suis de tout cœur avec vous dans ce malheur.
Hélène (Rueil-Malmaison, France)

La disparition de Boris est vraiment une triste nouvelle, comme quoi, la frontière entre la vie et la mort, est aléatoire. Pour preuve, ce jeune dynamique, et pragmatique nous quitte. Boris, va en paix.
Adrien (Nantes, France)

Mes condoléances, je voulais encourager tous les journalistes qu'il laisse dans le deuil. En tant qu'africain qui voit quotidiennement les méfaits de cette maladie, je suis vraiment triste que la vie de cet être si innocent n'a pas pu être sauvée, continuons à dire à toutes les nations que le paludisme est un vrai fléau.
Pierre (Kigali, Rwanda)

Par ma voix tous les membres du club RFI Dakar présentent leurs sincères condoléances à toute la radio Mondiale et à la famille de Boris qui va beaucoup nous manquer.
Anta (Dakar, Sénégal)

J’ai appris avec regret le décès de Boris, Journaliste de RFI. A sa famille, ses amis, RFI et toute la famille de la presse, j'envoie mes condoléances les plus attristées. Que l'âme du défunt repose en paix.
Lawane (Diffa, Niger)

Boris. Grandes furent ma tristesse et ma douleur d'apprendre que tu nous a quitté à la fleur de l'âge. La famille RFI et auditeurs est en deuil; T'en fais pas tu vas rejoindre tes illustres ainés que sont Jean Helene, David Ndachi Tagne, Johanne Sutton, Gilles Obringer. Sache que tu resteras à jamais gravé dans notre cœur.
Kolo (Libreville, Gabon)

C'est avec tristesse et consternation que j'ai appris ce soir le décès de votre confrère Boris Fleuranceau, une voix que j'étais habituée à suivre tout le temps sur RFI a travers plusieurs reportages en Afrique. La nouvelle est triste. Mais une chose m'intrigue tout de même dans l'article. Vous trouvez les causes de sa mort dans une crise de paludisme "foudroyante qu'il aurait contracté en Afrique lors de ses reportages". Mais j'aimerais savoir, si à un tel stade du métier et après d'aussi longues années passées en Afrique, le jeune journaliste n'a pas pu prendre des précautions pour s'éviter une maladie aussi mortelle comme le paludisme sachant tous les ravages que celle ci cause malheureusement dans notre continent. Mes condoléances à l'ensemble du personnel de RFI, et à toute sa famille, ainsi durement éprouvée.
Fabrice (Yaoundé, Cameroun)

C'est avec un grand regret que j'ai appris le décès de Boris Fleuranceau ce jour jeudi 30 /08/07
je présente à l'ensemble de la rédaction de RFI mes condoléances.RFI vient de perdre un jeune journaliste courageux et très engagé
Boubacar (Bamako, Mali)

Mes condoléances à la famille de Boris et à rfi. Boris était un grand reporter au service de l'Afrique. Il était tout dernièrement dans ma ville natale Bouaké. Que Dieu lui accorde son paradis
Ibrahim (Catania, Italie)

Je suis profondément triste, et à travers moi tout un peuple d'Afrique en quête de la vérité. Boris a été l'un des plus grands serviteurs pour la cause africaine. Sa voix à travers la forêt africaine faisant ressortir la force de s'accrocher et d'y croire à l'avenir. Boris l'Afrique mon continent t'aime et son peuple ne t'oubliera jamais car tu fais partie de ceux qui ont contribué à son développement.
Alexis (Genève, Suisse)

Bouleversé, attristé
Dianguina (Nanterre, France)

RFI vient encore une fois de perdre un grand parmi les grands que compte cette radio. Personnellement, en tant qu'Ivoirien, je suis toujours très triste lorsque ma radio préférée qu'est rfi se trouve dans la tourmente. Mais comme on le dit chez moi, les grandes douleurs sont muettes. Que la terre te soit légère Boris. Tu as mené un combat, le bon. Repose en paix. Beaucoup de courage à tout le personnel et auditeurs de la radio mondiale. Les voix de Jean Hélène (tombée sous les balles assassines d'un criminel ivre de haine), de Boris et bien d'autres ne quitteront jamais nos oreilles. Qu'il en soit ainsi.
Gonkanou Timothé (Emmen, Suisse)

Je présente à l'équipe RFI toutes mes condoléance suite au décès de Boris Florenceau, ainsi qu'à sa famille.
Mouctar (Kaolack, Sénégal)

C'est avec tristesse que j'envois ce message! Toutes mes condoléances!
Fidèle (Ouagadougou, Burkina-Faso)

Toutes mes condoléances attristées à RFI et à la famille de Boris.
Abdoulaye (Djeddah, Arabie Saoudite)

Je vous présente toutes mes condoléances je peux dire que c'étais le seul après Jean Hélène c'était celui qui faisait vivre l'actualité africaine
Ibrahim (Ouagadougou, Burkina-Faso)

A chacun de vous, ami-e-s et collègues de Boris Fleuranceau, à ses proches et à sa famille, toute ma solidarité dans le chagrin qui vous tombe dessus. De mon côté, simple auditrice, sa voix me manque déjà, son nom et ses regards manqueront à notre antenne, à notre connaissance et compréhension des choses, à notre imagination aussi, de ces endroits d'où il nous parlait. Merci pour le bel hommage que vous venez de lui rendre par ce montage -faites en un autre, encore plus long, plus complet! Je me sens très triste
Sophie (Paris, France)

Veuillez recevoir toutes mes condoléances. Je partage votre douleur et celle de sa famille. Nous n'entendrons plus hélas sa voix chaleureuse, sa simplicité, sa gentillesse, sa pertinence. Il va nous manquer. Comme on dit en Afrique, que la terre te soit légère, Boris.
Odile (Paris, France)

Je voudrais, en ces moments difficiles pour notre radio, présenter mes condoléances à la famille de Boris Fleuranceau, à la rédaction et à tout le personnel de RFI. Un vaillant soldat vient de tomber, l'arme à la main, comme ce fut le cas il ya quelques années de Joanne Sutton et de Jean Hélène. A vous tous qui êtes au front, au service de la vérité et pour le bonheur du monde, je vous exprime toute ma reconnaissance et vous encourage à aller toujours de l'avant. J'ai la conviction que tous les auditeurs de RFI sont de cœur avec vous et partagent sincèrement votre douleur. Bon courage.
Enoc (Cotonou, Bénin)

Mes condoléances les plus attristées à sa familles et proches.
Rodrigue (Bremen, Allemagne)

Mes condoléances les plus attristées. J'ai rencontré Boris à Bouaké lors de la célébration de la Flamme de la Paix et il était plein de vie, de dynamisme. J'y étais pour les Nations unies et nous avons échangé nos cartes de visite. Je l'ai déposé sur son lieu de reportage lors de l'arrivée des jeunes patriotes à l'entrée de cette ville. Je le revois encore entrain de courir, se faufiler parmi la foule pour avoir les meilleurs sons, interviews et informer les auditeurs de RFI. RFI perd un grand journaliste, engagé et sympathique. A sa famille, beaucoup de courage et à ses collègues, perpétuez son œuvre. Puisse t-il reposer en paix.
Eliane (Abidjan, Côte-d'Ivoire)

Je transmets mes condoléances à toute la radio et en particulier à la rédaction Afrique de RFI et surtout que sa mort soit un moyen de remobiliser la rédaction Afrique de RFI.
Evariste (Yaoundé, Cameroun)

Je suis vraiment attristé par la disparition de votre confrère et de notre frère et ami Monsieur Fleuranceau. Alors je présente toutes mes condoléances à sa famille ainsi qu'à toute l'équipe de RFI. Repose en paix Monsieur Fleuranceau
Patrick (Ouagadougou, Burkina-Faso)

Mes condoléances les plus attristées à RFI et à la famille du disparu.
Guy (Kinshasa, RDC)