mercredi 11 février 2009

Regards croisés : exporter sa littérature

Stand du NLPVF à foire du livre de Londre en 1999.
Courtesy NLPVF

Depuis 1991, le Fonds néerlandais pour la production et la traduction de la littérature (NLPVF), travaille à faire connaître la littérature néerlandaise. Doté de 3,5 millions d’euros par an, il a permis en France la découverte de grands auteurs, tel Willem Frederik Hermans aujourd'hui publié par Gallimard... Le Fonds ne se contente pas des grands marchés que sont l’Allemagne et la France, il est également très actif dans les pays émergents, Chine et Inde notamment. Par Sabine Cessou.
http://www.nlpvf.nl

En Roumanie, un site internet lancé par la revue The Observator traduit et met en ligne des extraits d'œuvres d'auteurs roumains, avec l'espoir de les faire publier à l'étranger. Par Marion Guyonvarch.
http://translations.observatorcultural.ro

Reportage : L'éducation populaire en danger

L’association « A chacun ses vacances » organise des séjours pour enfants handicapés.
Photo : acsv

Les associations d'éducation populaire française sont au bord de l'asphyxie financière du fait de la brutale réduction des subventions qui leur étaient allouées. Reportage de Catherine Potet au sein de l'association A chacun ses vacances, qui organise des loisirs pour les enfants autistes.
http://www.achacunsesvacances.com

Chronique jeunes : diplôme en finance islamique à Strasbourg

l'Ecole de Management de Strasbourg lance un nouveau diplôme et formera, au cours de l’année 2009, 36 étudiants de diverses nationalités (français, allemands, luxembourgeois, suisses, tunisiens, algériens). Le cursus comprend des cours relatifs à l’économie, au droit musulman ainsi qu’aux techniques bancaires et financières islamiques. Si ce type de diplôme existe déjà en Angleterre, berceau de la finance islamique en Europe, c'est une première en France.
http://www.em-strasbourg.eu/formations/autres-formations-ud-finance-islamique-2.html

Sortir en Europe : Le Théâtre de l'Abadia

Días mejores de Richard Dresser. .
Courtesy Teatro Abadía

A Madrid, le théâtre de l' Abadia reprend « Jours meilleurs » de l'Américain Richard Dresser, mis en scène par Alex Rigola. La pièce analyse avec humour nos réactions de peur et d'angoisse face à la crise économique. Par François Musseau.

Días mejores, jusqu'au 8 mars au « Teatro de La Abadía ». http://www.teatroabadia.com