mardi 6 novembre 2007

Pendant sept ans, le maire de Manille, José Atienza, a proscrit tout contraceptif de la capitale philippine, suivant ainsi la ligne de l’église catholique. Une politique qui a privé beaucoup de femmes de leurs moyens de contraception, et les a poussées à avoir de nombreux enfants. Aujourd’hui, une dizaine de familles vont porter plainte, devant la Cour Suprême, pour non-respect de leur droit à la contraception. Un exemple d'un manque général de planning familial aux Philippines. Un reportage de Sébastien Farcis.