par Pascal Paradou
Auteure d’une quinzaine d’ouvrages dont quelques best-sellers, membre du jury du prix Médicis depuis 1970, Christine de Rivoyre est une femme de caractère, connue pour ses prises de position tranchées, son franc-parler.
Silencieuse depuis plus de dix ans, suite à la mort soudaine de son ami Alexandre Kalda à Pondichéry où il vivait depuis vingt ans, elle a repris la plume pour célébrer ce très cher disparu, et obtenu des éditions Grasset qu’il réédite Promenade en Inde, l’ultime livre de Kalda, publié en 1996, juste après sa mort, qu’elle avait déjà préfacé à l‘époque.
Acharka, son nouveau roman était le surnom d’Alexandre Kalda qui signifie en sanskit « celui qui invoque la lumière ».
« Dix ans après sa mort je voulais parler d’Archaka, après quoi j’ignore si j’écrirai un autre livre ». Christine de Rivoyre
→ Acharka, Editions grasset
par Pascal Paradou
Auteure d’une quinzaine d’ouvrages dont quelques best-sellers, membre du jury du prix Médicis depuis 1970, Christine de Rivoyre est une femme de caractère, connue pour ses prises de position tranchées, son franc-parler.
Silencieuse depuis plus de dix ans, suite à la mort soudaine de son ami Alexandre Kalda à Pondichéry où il vivait depuis vingt ans, elle a repris la plume pour célébrer ce très cher disparu, et obtenu des éditions Grasset qu’il réédite Promenade en Inde, l’ultime livre de Kalda, publié en 1996, juste après sa mort, qu’elle avait déjà préfacé à l‘époque.
Acharka, son nouveau roman était le surnom d’Alexandre Kalda qui signifie en sanskit « celui qui invoque la lumière ».
« Dix ans après sa mort je voulais parler d’Archaka, après quoi j’ignore si j’écrirai un autre livre ». Christine de Rivoyre
→ Acharka, Editions grasset
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