Article publié le 08/02/2008 Dernière mise à jour le 21/02/2008 à 17:04 TU
Ce néologisme a été proposé par le Néerlandais Paul Crutzen, Prix Nobel de chimie (1995), pour décrire l'impact croissant de l'humanité sur la biosphère. Une expression aujourd’hui adoptée par la majorité des géophysiciens.
Philosophe, historien des sciences et spécialiste de l'écologie.
« Il faut absolument que l'on retrouve le sens de nos racines biologiques et des contraintes biologiques et climatiques. »
Pour Philippe Bouysse, géologue, cette désignation tient lieu de gag.
Géologue
« L'Holocène est la dernière époque géologique mais entre géologues on parle aussi du "poubélien"...»
Pour en savoir plus:
La biosphère de l'anthropocène. Climat et pétrole la double menace, Jacques Grinevald (Chêne-Bourg/Genève, Georg Editeur), 2008.