Reportage

Etrangers en France, ils valorisent le patrimoine

Nous vous proposons cette semaine d'aller à la rencontre d'étrangers installés en France qui défendent et réhabilitent le patrimoine.

Cinquième et dernière rencontre: Jean-Marie Guffens, un belge flamand, vigneron dans le Vaucluse. Avec Maine, son épouse, Jean-Marie Guffens s'initie aux arts de la vigne. Vingt années en Bourgogne où il achète son premier domaine viticole. Il y produit du macon blanc et du pouilly fuissé, deux vins réputés. L'affaire marche bien alors il continue l'aventure dans le Vaucluse et achète en 97 le château des tourettes. Jean-Marie Guffens plante ainsi 3000 oliviers mais il ne s'arrête pas là et ouvre à Apt un restaurant gastronomique. Jean-Marie Guffens répond aux questions de Catherine Ninin.

Quatrième rencontre: Fran May, une jeune Galloise, habite en Bretagne, dans le Finistère nord. Venue en France pour parfaire ses études de breton, elle enseigne aujourd'hui l'anglais dans une école Diwan. Mais surtout, comme ses ancêtres gallois, elle chante et a déjà six disques à son actif. Fran May est au micro de Patrick Adam.

Troisième rencontre: Andrew Corpe, quarante ans, vit à Saignon en Provence. Après la ville de Londres en Angleterre et celle de Melbourne en Australie, il a choisi d'exercer son talent d'architecte dans le Lubéron. Andrew Corpe répond aux questions de Catherine Ninin.

Deuxième rencontre: Joost Roosenburg est un Hollandais qui vit depuis une trentaine d'années dans le Périgord. Passionné de vieilles pierres, il a entièrement restauré les Bernardies, un petit hameau de neuf maisons laissé à l'abandon depuis plusieurs années. Joost Roosenburg répond aux questions de Catherine Ninin.

Première rencontre avec Paddreg Larkin, Irlandais et heureux propriétaire de deux pubs à Lorient, en Bretagne, où se déroule chaque année le festival interceltique. Paddreg Larkin a surtout été le premier à ouvrir un pub irlandais en Bretagne, et l'un des premiers en France. Depuis, il a fait école... Il répond aux questions de Patrick Adam.

Article publié le 23/08/2002