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Proche-Orient

Images du Liban sous les bombes

A Beyrouth et au sud du Liban, les trois premières semaines de bombardements de l'aviation israélienne ont fait des dégâts importants, plusieurs centaines de morts, des milliers de blessés et provoqué l'exode de centaines de milliers de Libanais. Notre envoyé spécial, Raphaël Reynes témoigne en images de cette guerre dont les habitants de la région croyaient qu'elle appartenait à l'histoire.
A Fatka, au nord de Beyrouth. Le 22 juillet, l'armée israélienne a bombardé le relais de la télévision nationale libanaise LBC. L'opérateur a été tué dans le bombardement. Plusieurs blessés. 

		(Photo : R. Reynes / RFI)
A Fatka, au nord de Beyrouth. Le 22 juillet, l'armée israélienne a bombardé le relais de la télévision nationale libanaise LBC. L'opérateur a été tué dans le bombardement. Plusieurs blessés.

A Fatka, au nord de Beyrouth : le relais de la télévision nationale libanaise LBC dévasté. 

		(Photo : R. Reynes / RFI)
A Fatka, au nord de Beyrouth : le relais de la télévision nationale libanaise LBC dévasté.

Les raids aériens israéliens prennent pour cible les antennes de télécommunications du Liban

Reportage de Raphaël Reynes

«Tout d'un coup, il y a une fusée qui est tombée directement sur le pylône, elle a détuit le pylône. Une autre fusée de l'autre coté pour continuer à détruire tout.»

Plus de 900 réfugiés du sud du Liban se sont installés dans une école du quartier chrétien d'Achrafieh dans le centre de Beyrouth. 

		(Photo : R. Reynes / RFI)
Plus de 900 réfugiés du sud du Liban se sont installés dans une école du quartier chrétien d'Achrafieh dans le centre de Beyrouth.
Jan Egeland, le secrétaire général adjoint de l’ONU pour les affaires humanitaires. 

		(Photo : R. Reynes / RFI)
Jan Egeland, le secrétaire général adjoint de l’ONU pour les affaires humanitaires, était à Beyrouth le 23 juillet.
Plus de 900 réfugiés du sud du Liban se sont installés dans une école du quartier chrétien d'Achrafieh dans le centre de Beyrouth. 

		(Photo : R. Reynes / RFI)

Jan Egeland à Beyrouth

Reportage de Raphaël Reynes

«Nous devons au moins être capables d'apporter de quoi survivre, si nous ne pouvons pas stopper cette guerre insensée.»

Quelques civils vivent encore dans le quartier de Bir Abed, dans la banlieue sud de Beyrouth, considéré comme un fief du Hezbollah et particulièrement touché par les bombardements israéliens. 

		(Photo : R. Reynes / RFI)
29 juillet. Quelques civils vivent encore dans le quartier de Bir Abed, dans la banlieue sud de Beyrouth, considéré comme un fief du Hezbollah et particulièrement touché par les bombardements israéliens.
A la sortie Sud de Beyrouth, ce pont a été l'une des première cibles des frappes israéliennes. 

		(Photo : R. Reynes / RFI)
A la sortie Sud de Beyrouth, ce pont a été l'une des première cibles des frappes israéliennes.

Mohammed Safadi

Ministre libanais des Transports et des Travaux publics

«L'aviation israélienne s'est concentrée sur les routes et sur tout ce qui pourrait être utilisé comme voie de transport.»

Les blessés affluent à l'hôpital gouvernemental Rafic Hariri à Beyrouth. 

		
Les blessés affluent à l'hôpital gouvernemental Rafic Hariri à Beyrouth.
A l'hopital Rafic Hariri, cet homme, blessé dans les bombardements à Houla dans le Sud, fait un signe de victoire en disant «<em>la résistance vaincra</em>». &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
Cet homme, blessé dans les bombardements à Houla dans le Sud, fait un signe de victoire en disant «la résistance vaincra».
L'exode, direction le Nord. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
L'exode, direction le Nord.

L'exode des familles du Liban sud

par Frédéric Domont

«Des voitures chargées de familles épuisées (...) remontent en direction du Nord à la recherche d'un refuge.»

L'exode, direction le Nord. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
L'exode, direction le Nord.
On s'entasse sur tous les véhicules disponibles pour fuir. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
On s'entasse sur tous les véhicules disponibles pour fuir.
Les bombardements sur la route du Sud entre Saïda et Tyr ont coupé la route en plusieurs endroits. Les véhicules doivent se frayer un chemin à travers champs pour pouvoir fuir. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
Les bombardements sur la route du Sud entre Saïda et Tyr ont coupé la route en plusieurs endroits. Les véhicules doivent se frayer un chemin à travers champs pour pouvoir fuir.
Sur les routes du Sud, même les véhicules de la Finul sont bloqués sur les routes de l'exode par la fuite de milliers de personnes. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
Sur les routes du Sud, même les véhicules de la Finul sont bloqués sur les routes de l'exode par la fuite de milliers de personnes.

La Croix-Rouge libanaise

Reportage de Rapahël Reynes

«Evaluer précisemment les besoins humanitaires sur le terrain est presque impossible.»

Raphaël Reynes

Envoyé spécial de RFI dans la région de Tyr, au sud du Liban

«Il n’y a pas eu de raid de l’aviation israélienne sur Tyr et sa région, mais plutôt l’artillerie de marine qui a pris pour cible le sud du village. Par contre, l’aviation israélienne a bien rompu sa trêve, plusieurs raids ont visé des villages du sud.»

A l'entrée Nord de Tyr. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
A l'entrée Nord de Tyr.
A la sortie Sud de Saïda. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
A la sortie Sud de Saïda.
La centrale thermique de Jeniyeh a été bombardée aux premières heures des frappes israéliennes. Ses réservoirs de carburants brûlent encore, bien qu'une grande partie de leur contenu se soit écoulée vers la mer, provoquant une marée noire. &#13;&#10;&#13;&#10;&#9;&#9;(Photo : R. Reynes / RFI)
La centrale thermique de Jeniyeh a été bombardée aux premières heures des frappes israéliennes. Ses réservoirs de carburants brûlent encore, bien qu'une grande partie de leur contenu se soit écoulée vers la mer, provoquant une marée noire.



par Raphaël  Reynes

Article publié le 04/08/2006Dernière mise à jour le 04/08/2006 à TU

Réalisation multimédia : Claire Wissing

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(©AFP/Bourgoing/RFI)