par RFI
Article publié le 07/02/2009 Dernière mise à jour le 10/02/2009 à 10:47 TU
Les derniers jours de campagne, les enjeux et les thèmes majeurs du scrutin. Retouvez-les dans les reportages et analyses des envoyés spéciaux de RFI.
10 février
« Le repli national est tel que même Hussein, un électeur affilié au parti communiste, seule formation à présenter des listes mixtes a, cette fois, décidé de voter pour le Parti national démocratique ou même les islamistes ».
9 février
« Le taux de chômage devrait atteindre 6 à 7% de la population active mais aucun des candidats en lice n'abordent ces questions. »
« La droite ne doit pas disperser ses voix... Lieberman veut chasser les Arabes d'Israël et ça ne me paraît pas réaliste... Bibi est dans les gens logiques...»
« Le nombre d'indécis est tel qu'il étonne même les spécialistes des sondages... Cela s'explique par les programmes réduits à la question sécuritaire, une campagne raccourcie à cause des bombardements de Gaza, et des candidats archi-connus...»
« Les propos n'ont rien de politiquement corrects, ils sont dur, mais c'est justement cela qui plaît à l'assistance... »
« Les religieux ne veulent pas entendre parler d'une femme au pouvoir... Des femmes sont venues prier pour Tzipi Livni : "On a déjà eu Bibi et nous voulons un changement, avec Tzipi comme Premier ministre"...»
7 février
Les derniers sondages de la campagne des législatives israéliennes montrent un très net avantage pour l'opposition de droite. Le Likoud de Benjamin Nétanyaou arriverait en tête du scrutin avec près de 25 sièges, suivi du parti Kadima avec une vingtaine de sièges. Les derniers sondages confirment aussi la poussée du parti d'extrême droite Israël Beiteinou qui pourrait dépasser les travaillistes.
9 février
« La droite ne doit pas disperser ses voix... Lieberman veut chasser les Arabes d'Israël et ça ne me paraît pas réaliste... Bibi est dans les gens logiques...»
« Le nombre d'indécis est tel qu'il étonne même les spécialistes des sondages... Cela s'explique par les programmes réduits à la question sécuritaire, une campagne raccourcie à cause des bombardements de Gaza, et des candidats archi-connus...»
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