par RFI
Article publié le 24/05/2009 Dernière mise à jour le 24/05/2009 à 17:03 TU
Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, accueilli par le Premier ministre de la République démocratique du Congo, Adolphe Muzito (d), à l'aéroport de Kinshasa, le 23 mai 2009.
(Photo : Reuters)
Il est question pour les dirigeants congolais de convaincre le patron du FMI sur leurs capacités d’améliorer la gestion des finances publiques.
Parmi les autres préalables, figure la révision du contrat chinois dont certaines clauses fâchent les partenaires occidentaux. Donc difficiles négociations au regard de l’environnement économico-financier de la RDC particulièrement affectée par la crise financière internationale.
En dépit de tout cela, les dirigeants congolais croient pouvoir bénéficier de quelques circonstances atténuantes de la part des institutions financières internationales dans la mesure où ils pensent avoir fourni d’énormes efforts depuis 2001, date de la reprise de la coopération structurelle avec ces institutions.
L’autre argument avancé par Kinshasa, c’est que la RDC qui est un pays post-conflit mérite une attention particulière de la part de la communauté internationale.