Chypre en quelques chiffres …
Superficie : 9 251 km² (dont 37, 2% pour la partie turque). Grande comme la Corse, elle est la troisième île de la Méditerranée, après la Sicile et la Sardaigne.
Population : 753 350 habitants.
Capitale : Nicosie.
Langues parlées : grec et turc.
Composition ethnique : Grecs 78%, Turcs 18%.
Religions : Orthodoxes grecs 78%, musulmans 18%, maronites, apostoliques arméniens.
Situation géographique : Depuis 1974, Chypre est un territoire séparé en deux par la ligne Attila. Au nord, dans la zone turque qui a fait sécession, se trouvent les plaines les plus fertiles. La population chypriote est composée de deux communautés : grecque (présente depuis le VIIè millénaire avant J.C) et turque (depuis le XVIè siècle). Les Turcs (musulmans) sont au nombre de 156 000, les Grecs (chrétiens orthodoxes) 601 000. L’Enosis est la politique d’union de Chypre avec la Grèce.
Constitution : République membre de l’ONU et du Commonwealth, elle appartient également au Conseil de l’Europe. Constitution du 16 août 1960, date de l’indépendance, appliquée partiellement en raison de la sécession turque, elle prévoyait un président grec et un vice-président turc, élus pour cinq ans par leurs communautés respectives, et un Conseil des ministres, nommé par le président.
Président : Glafcos Cléridès, depuis le 28 février 1993.
Indicateurs économiques : Avec un relief et un climat peu cléments, la production agricole progresse légèrement. Principales productions : la pomme de terre, l’orge, les agrumes et les olives. Le secteur viticole, l’une des premières sources d’exportation, a souffert de la sécheresse et devra se restructurer pour s’intégrer dans l’Union européenne. L pêche est peu développée pour une économie insulaire. Concernant l’industrie, l’île de Chypre, en dépit de la réouverture d’une de ses exploitations de cuivre, ne dispose d’aucune ressource minérale potable. C’est le tourisme qui reste depuis de nombreuses années le moteur de l’économie. Par ailleurs, Chypre s’est fait une spécialité des transactions effectuées avec la Russie et les autres pays de l’Est dans des conditions de transparence qui ne sont pas toujours idéales. Enfin, privée de sa région la plus développée, le nord de l’île envahi par la Turquie en 1974, Chypre a reconstruit une économie prospère en misant sur les services. Mais le déficit de la balance commerciale continue de se creuser et le déficit budgétaire, lui aussi, s’accroît de façon continue.
Population : 753 350 habitants.
Capitale : Nicosie.
Langues parlées : grec et turc.
Composition ethnique : Grecs 78%, Turcs 18%.
Religions : Orthodoxes grecs 78%, musulmans 18%, maronites, apostoliques arméniens.
Situation géographique : Depuis 1974, Chypre est un territoire séparé en deux par la ligne Attila. Au nord, dans la zone turque qui a fait sécession, se trouvent les plaines les plus fertiles. La population chypriote est composée de deux communautés : grecque (présente depuis le VIIè millénaire avant J.C) et turque (depuis le XVIè siècle). Les Turcs (musulmans) sont au nombre de 156 000, les Grecs (chrétiens orthodoxes) 601 000. L’Enosis est la politique d’union de Chypre avec la Grèce.
Constitution : République membre de l’ONU et du Commonwealth, elle appartient également au Conseil de l’Europe. Constitution du 16 août 1960, date de l’indépendance, appliquée partiellement en raison de la sécession turque, elle prévoyait un président grec et un vice-président turc, élus pour cinq ans par leurs communautés respectives, et un Conseil des ministres, nommé par le président.
Président : Glafcos Cléridès, depuis le 28 février 1993.
Indicateurs économiques : Avec un relief et un climat peu cléments, la production agricole progresse légèrement. Principales productions : la pomme de terre, l’orge, les agrumes et les olives. Le secteur viticole, l’une des premières sources d’exportation, a souffert de la sécheresse et devra se restructurer pour s’intégrer dans l’Union européenne. L pêche est peu développée pour une économie insulaire. Concernant l’industrie, l’île de Chypre, en dépit de la réouverture d’une de ses exploitations de cuivre, ne dispose d’aucune ressource minérale potable. C’est le tourisme qui reste depuis de nombreuses années le moteur de l’économie. Par ailleurs, Chypre s’est fait une spécialité des transactions effectuées avec la Russie et les autres pays de l’Est dans des conditions de transparence qui ne sont pas toujours idéales. Enfin, privée de sa région la plus développée, le nord de l’île envahi par la Turquie en 1974, Chypre a reconstruit une économie prospère en misant sur les services. Mais le déficit de la balance commerciale continue de se creuser et le déficit budgétaire, lui aussi, s’accroît de façon continue.
Article publié le 03/12/2001