Syndrome du Golfe
Les Français parlent
C'était il y a dix ans. Plus de 700 000 militaires d'une trentaine de pays étaient envoyés dans le Golfe Persique, pour bouter l'Irak hors du Koweit. Mission accomplie en moins de deux mois, au terme d'une gigantesque offensive aérienne et terrestre, dans laquelle les alliés perdront moins de 500 hommes. Presque tous les soldats sont donc rentrés chez eux vivants, mais, pour certains, malades. C'est ce qu'on appelle le syndrome de la guerre du Golfe, un ensemble de maladies neurologiques, pulmonaires, ou encore musculaires, qui n'a pas d'explication officielle à ce jour.
1e partie: Témoignages des vétérans français
Reporteur 18/12/2000, 15'
Plusieurs dizaines de milliers de vétérans américains et britanniques sont touchés. Mais en France, où l'on surnomme l'armée «la grande muette», il aura fallu attendre presque dix ans, pour que d'anciens vétérans sortent du silence, parlent de leurs maladies, et posent des questions. Lire la suite
2e partie: Trop de questions sans réponse
Reporteur 19/12/2000, 15'
En France, près de 200 vétérans malades se sont rassemblés au sein d'Avigolfe, l'Association des Victimes de la Guerre du Golfe. Certains demandent une pension d'invalidité, mais tous réclament surtout la reconnaissance officielle par l'armée de leur état de santé. Lire la suite
Reporteur 18/12/2000, 15'
Plusieurs dizaines de milliers de vétérans américains et britanniques sont touchés. Mais en France, où l'on surnomme l'armée «la grande muette», il aura fallu attendre presque dix ans, pour que d'anciens vétérans sortent du silence, parlent de leurs maladies, et posent des questions. Lire la suite
2e partie: Trop de questions sans réponse
Reporteur 19/12/2000, 15'
En France, près de 200 vétérans malades se sont rassemblés au sein d'Avigolfe, l'Association des Victimes de la Guerre du Golfe. Certains demandent une pension d'invalidité, mais tous réclament surtout la reconnaissance officielle par l'armée de leur état de santé. Lire la suite
par Catherine Potet
Article publié le 20/12/2000