Article publié le 24/02/2009 Dernière mise à jour le 24/02/2009 à 20:28 TU
Avec notre correspondant à Alger
Ils sont sept chefs de petites formations politiques à tenter leur chance. Mohamed Hadef, Omar Bouacha, Ali Zeghdoud, Faouzi Rebaine, Moussa Touati, l’islamiste Djahid Younsi et la trotskiste Louisa Hanoun. Celle-ci avait déjà tenté l’aventure en 2004, et n’avait recueilli qu’environ 1% des suffrages exprimés. Les quatre autres candidats à la candidature sont Mohamed Saïd, Rachid Bouaziz, Loth Bonatiro et Abdelaziz Bouteflika, tous les quatre se présentant sous l’étiquette d’indépendants.
Abdelaziz Bouteflika, le mieux parti
Tous ont fourni un dossier administratif qui comporte entre autres, une déclaration publique de patrimoine et un certificat médical délivré par des médecins assermentés. Ils doivent également réunir à l’appui de leur dossier, six cents signatures d’élus ou soixante quinze mille signatures de citoyens. Sur ce plan, le mieux loti est Abdelaziz Bouteflika. Les trois partis de l’alliance présidentielle qui le soutiennent annoncent avoir notamment recueilli plus de trois millions de signatures. Dans dix jours, le Conseil constitutionnel se prononcera sur la validité de ces onze candidatures.
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