par Michèle Diaz
Article publié le 09/04/2009 Dernière mise à jour le 09/04/2009 à 15:29 TU
Les recommandations actuelles de prescription d'antirétroviraux seraient donc insuffisantes, une donnée importante pour les cliniciens, qui devrait les inciter à prescrire plus tôt les traitements aux malades.
Ces données, applicables dans les pays industrialisés, ne doivent faire oublier qu’au Sud, les recommandations sont d’initier les traitements encore plus tardivement qu’au Nord.
La publication du Lancet donne l’occasion de lancer le débat dans les pays en développement, selon Jen-François Delfraissy, directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS).
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