RFI
Le message de la famille de Jean Hélène aux internautes
Nous sommes plusieurs parmi les membres de la famille de Jean Hélène qui tenons à remercier, même tardivement, les nombreux internautes qui ont demandé à RFI de nous transmettre leurs messages de soutien. Nous avons été très touchés de sentir qu'au-delà des mots que l'on dit dans ces circonstances, Jean était pour beaucoup d'entre vous bien plus qu'un journaliste.
Vous toutes et tous qui avez perçu l'homme qu'il était à travers ses reportages, vous qui l'avez approché, vous qui avez été de ses amis proches, vous pouvez avoir une idée de notre chagrin. Et nous, à travers tous vos témoignages qui nous sont parvenus, nous pouvons mesurer aussi la perte qui est la vôtre: un ami, une «voix pour les sans-voix», un témoin de l'Afrique, un professionnel consciencieux… «un membre de notre famille», comme beaucoup d'entre vous l'ont écrit.
Il avait réussi à concilier deux de ses passions, l'Afrique et le journalisme, et à les mettre au service d'un idéal auquel beaucoup d'entre nous aspirent: la construction d'un monde plus humain, qui ne peut se passer de communication, de compréhension entre les personnes.
Que pouvons-nous souhaiter de mieux que la paix pour ce continent africain qu'il aimait tant ?
François, Sylvie, Marielle, Catherine
Vous toutes et tous qui avez perçu l'homme qu'il était à travers ses reportages, vous qui l'avez approché, vous qui avez été de ses amis proches, vous pouvez avoir une idée de notre chagrin. Et nous, à travers tous vos témoignages qui nous sont parvenus, nous pouvons mesurer aussi la perte qui est la vôtre: un ami, une «voix pour les sans-voix», un témoin de l'Afrique, un professionnel consciencieux… «un membre de notre famille», comme beaucoup d'entre vous l'ont écrit.
Il avait réussi à concilier deux de ses passions, l'Afrique et le journalisme, et à les mettre au service d'un idéal auquel beaucoup d'entre nous aspirent: la construction d'un monde plus humain, qui ne peut se passer de communication, de compréhension entre les personnes.
Que pouvons-nous souhaiter de mieux que la paix pour ce continent africain qu'il aimait tant ?
François, Sylvie, Marielle, Catherine
Article publié le 23/02/2004