par Dominique Raizon
Article publié le 13/01/2009 Dernière mise à jour le 13/01/2009 à 10:33 TU
Le Dr Servan Schreiber responsable de cette étude, confirme que ces travaux soulignent l’importance « de communiquer auprès des patients déjà atteints d’un cancer sur l’importance d’adopter un régime alimentaire à index glycémique bas, pour réduire la sécrétion d’insuline et son influence néfaste sur la croissance des cellules cancéreuses. »
Cette découverte pourrait expliquer pourquoi les femmes ménopausées atteintes d’obésité (indice de masse corporelle -ou IMC- supérieur à 30*) seraient davantage exposées au développement d’un cancer du sein car les taux d’insuline et d’œstrogènes plus élevés favoriseraient en effet la maladie.
* l’IMC permet de déterminer la corpulence d'une personne. L'organisation mondiale de la Santé (OMS) a défini cet IMC comme le standard pour évaluer les risques liés au surpoids.
Pour en savoir plus :
Consulter les sites
- du National cancer institute
- du Journal du NCI
- de l'OMS sur l'obésité et le surpoids ainsi que sur le cancer
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