Commerce électronique
Le e-commerce met les bouchées doubles pour les fêtes
Les fêtes de fin d’année, l’une des périodes fastes pour les commerçants, s’est traduit par des résultats très satisfaisants pour les ventes sur Internet. Le réseau s’impose dorénavant comme un canal de distribution à part entière.
Quatre milliards et demi d’euros. Les achats de Noël sur Internet en Europe ont doublé par rapport à l’année dernière. Même constat du côté de la patrie de l’Internet. Les transactions électroniques approchent les 9 milliards de dollars aux Etats-Unis, soit une hausse de 42% par rapport à 2001.
Les cybermarchands raflent la mise. Outre-Atlantique, la croissance des ventes de Noël par Internet a été quatre fois supérieure à celles des magasins. Pour la même période, le commerce traditionnel américain n’enregistre qu’une progression de 4 %. Et le vice-président commercial d’America Online, Patrick Gates, de relever que : «l’on observe un réel transfert du hors-ligne au en-ligne». Une tendance qui se confirme chez les grands noms américains du secteur. Amazon a ainsi réalisé la saison des fêtes la plus active de son histoire. Le pionnier du cybercommerce a déclaré avoir reçu des commandes pour plus de 56 millions d’articles entre le 1er novembre et le 25 décembre dernier.
Si globalement, on assiste à une explosion des achats en ligne, certains articles se vendent mieux que d’autres. Les jouets (+50%) et les produits électroniques (+30%) : DVD, CD, appareils photo numériques ont enregistré les meilleures ventes. Viennent ensuite les livres, les voyages et les vêtements. Les voyagistes font leur retour sur le Net ; Après avoir beaucoup perdu au lendemain des attentats du 11 septembre, les ventes de voyages en ligne ont rebondi durant l’année 2002.
Des cybermarchands plus professionnels
La bonne tenue des ventes sur Internet tient à plusieurs raisons. Les paiements sont davantage sécurisés, la progression du nombre des abonnés haut débit. Mais pas seulement. D’autres facteurs expliquent ce succès du e-commerce. Au fil du temps, les cybermarchands gagnent en expérience et en confort avec Internet et ses possibilités. Les commerçants traditionnels ont enfin compris comment s’adapter à Internet et offrent désormais une meilleure logistique aux internautes.
Et c’est loin d’être fini. Les analystes président un avenir brillant au cyber-shopping. La pénétration croissante du haut débit dans les foyers et l’augmentation de la population disposée à faire ses achats en ligne nourrissent les plus grands espoirs. Si l’on en croit une étude du marché européen publiée cette semaine par le cabinet Jupiter Research, le chiffre d’affaires du commerce en ligne sur le Vieux continent devrait passer de 20 milliards d’euros en 2002 à 80 milliards d’euros en 2007.
Les cybermarchands raflent la mise. Outre-Atlantique, la croissance des ventes de Noël par Internet a été quatre fois supérieure à celles des magasins. Pour la même période, le commerce traditionnel américain n’enregistre qu’une progression de 4 %. Et le vice-président commercial d’America Online, Patrick Gates, de relever que : «l’on observe un réel transfert du hors-ligne au en-ligne». Une tendance qui se confirme chez les grands noms américains du secteur. Amazon a ainsi réalisé la saison des fêtes la plus active de son histoire. Le pionnier du cybercommerce a déclaré avoir reçu des commandes pour plus de 56 millions d’articles entre le 1er novembre et le 25 décembre dernier.
Si globalement, on assiste à une explosion des achats en ligne, certains articles se vendent mieux que d’autres. Les jouets (+50%) et les produits électroniques (+30%) : DVD, CD, appareils photo numériques ont enregistré les meilleures ventes. Viennent ensuite les livres, les voyages et les vêtements. Les voyagistes font leur retour sur le Net ; Après avoir beaucoup perdu au lendemain des attentats du 11 septembre, les ventes de voyages en ligne ont rebondi durant l’année 2002.
Des cybermarchands plus professionnels
La bonne tenue des ventes sur Internet tient à plusieurs raisons. Les paiements sont davantage sécurisés, la progression du nombre des abonnés haut débit. Mais pas seulement. D’autres facteurs expliquent ce succès du e-commerce. Au fil du temps, les cybermarchands gagnent en expérience et en confort avec Internet et ses possibilités. Les commerçants traditionnels ont enfin compris comment s’adapter à Internet et offrent désormais une meilleure logistique aux internautes.
Et c’est loin d’être fini. Les analystes président un avenir brillant au cyber-shopping. La pénétration croissante du haut débit dans les foyers et l’augmentation de la population disposée à faire ses achats en ligne nourrissent les plus grands espoirs. Si l’on en croit une étude du marché européen publiée cette semaine par le cabinet Jupiter Research, le chiffre d’affaires du commerce en ligne sur le Vieux continent devrait passer de 20 milliards d’euros en 2002 à 80 milliards d’euros en 2007.
par Myriam Berber
Article publié le 01/01/2003
