L''affaire Elf
Réactions des politiques français
Après l'arrestation d'Alfred Sirven vendredi aux Philippines, les réactions des hommes politiques français ne se sont pas faites attendre.
Lionel Jospin - Premier ministre
«Nous ne voulions pas courir le risque d'être obligés de rester 24 heures ou 48 heures aux Philippines et qu'il disparaisse (à) Ce qui est important, c'est que M. Sirven soit remis aux autorités judiciaires, c'était ça notre objectif et c'est comme ça qu'il sera, de la façon la plus sûre, rempli».
Marylise Lebranchu - Ministre de la Justice
«On a choisi une solution qui était celle de la sécurité (à) On aurait pu effectivement attendre un avion direct. (...) en 48 heures, sait-on jamais ce qui allait se produire, si Sirven s'était enfui à nouveau, s'il avait disparu dans la nature pendant ces 48 heures-là, que n'aurait-on pas dit ! »
Daniel Vaillant - Ministre de l'Intérieur
«J'ai décidé de ne pas intervenir, la mission de police a été effectuée dans les conditions où elle l'a été. Elle est terminée».
Philippe Séguin - Député des Vosges et candidat à la Mairie de Paris
«Il dépend maintenant d'Alfred Sirven de savoir si on verra clair rapidement en France dans les affaires Elf ou s'il faudra attendre (à) Je souhaite que toute la lumière soit faite le plus rapidement possible».
Edouard Balladur - Député RPR de Paris
«J'espère que Sirven rentrera en France le plus vite possible (à) j'ai un peu de peine à comprendre quelle a été la procédure suivie et pourquoi elle a débouché sur cette impasse».
Jean-Louis Debré - Président du groupe RPR à l'Assemblée nationale
«L'important est que M. Sirven réponde de ses actes devant les juges français, le reste n'est que péripétie et je ne m'intéresse pas à cette péripétie (à) Un certain nombre de personnes certainement ont du souci à se faire».
Nicolas Sarkozy - Député RPR des Hauts-de-Seine
«Cette escale judiciaire en Allemagne provoque une situation assez extravagante selon laquelle la sortie de ce pays dépend du prévenu lui-même (à) Je suppose que ce n'était pas dans les plans initiaux de Mme Lebranchu».
Philippe de Villiers - Président du Mouvement pour la France
«Beaucoup aujourd'hui doivent être inquiets de l'arrestation d'Alfred Sirven (à) Espérons que cette arrestation sera l'occasion d'en finir avec la délinquance politico-financière et de rétablir la probité politique».
«Nous ne voulions pas courir le risque d'être obligés de rester 24 heures ou 48 heures aux Philippines et qu'il disparaisse (à) Ce qui est important, c'est que M. Sirven soit remis aux autorités judiciaires, c'était ça notre objectif et c'est comme ça qu'il sera, de la façon la plus sûre, rempli».
Marylise Lebranchu - Ministre de la Justice
«On a choisi une solution qui était celle de la sécurité (à) On aurait pu effectivement attendre un avion direct. (...) en 48 heures, sait-on jamais ce qui allait se produire, si Sirven s'était enfui à nouveau, s'il avait disparu dans la nature pendant ces 48 heures-là, que n'aurait-on pas dit ! »
Daniel Vaillant - Ministre de l'Intérieur
«J'ai décidé de ne pas intervenir, la mission de police a été effectuée dans les conditions où elle l'a été. Elle est terminée».
Philippe Séguin - Député des Vosges et candidat à la Mairie de Paris
«Il dépend maintenant d'Alfred Sirven de savoir si on verra clair rapidement en France dans les affaires Elf ou s'il faudra attendre (à) Je souhaite que toute la lumière soit faite le plus rapidement possible».
Edouard Balladur - Député RPR de Paris
«J'espère que Sirven rentrera en France le plus vite possible (à) j'ai un peu de peine à comprendre quelle a été la procédure suivie et pourquoi elle a débouché sur cette impasse».
Jean-Louis Debré - Président du groupe RPR à l'Assemblée nationale
«L'important est que M. Sirven réponde de ses actes devant les juges français, le reste n'est que péripétie et je ne m'intéresse pas à cette péripétie (à) Un certain nombre de personnes certainement ont du souci à se faire».
Nicolas Sarkozy - Député RPR des Hauts-de-Seine
«Cette escale judiciaire en Allemagne provoque une situation assez extravagante selon laquelle la sortie de ce pays dépend du prévenu lui-même (à) Je suppose que ce n'était pas dans les plans initiaux de Mme Lebranchu».
Philippe de Villiers - Président du Mouvement pour la France
«Beaucoup aujourd'hui doivent être inquiets de l'arrestation d'Alfred Sirven (à) Espérons que cette arrestation sera l'occasion d'en finir avec la délinquance politico-financière et de rétablir la probité politique».
par Clarisse VERNHES (avec AFP)
Article publié le 05/02/2001
