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Union européenne

Nouvelle crise institutionnelle après le rejet irlandais du Traité de Lisbonne

Après le «non» franc des Irlandais au Traité européen de Lisbonne, l'Europe se retrouve plongée dans une nouvelle crise, trois ans après le rejet de la Constitution par les Français et les Néerlandais en 2005. Cette crise complique singulièrement la tâche de la France, qui prend en juillet la présidence de l'Union et devra trouver avec ses partenaires des solutions pour l'avenir.

Quelles solutions ?

UE/Traité de Lisbonne

Le quartier de Temple Bar à Dublin. Un des endroits où les jeunes travailleurs européens se rencontrent.(Photo: Flickr / Ian Wilson)

Une semaine cruciale pour l’Europe

Après le «non» irlandais au Traité de Lisbonne, les 27 cherchent à sortir de l’impasse institutionnelle. La France, qui assure la présidence de l’UE à partir du 1er juillet prochain, veut obtenir un accord politique avant la fin de la semaine.

16/06/2008 à 17:15 TU

Union européenne

(Photo : Manu Pochez/RFI )

Une semaine pour sortir de l’impasse

Une réunion lundi des ministres des Affaires étrangères, la visite de N. Sarkozy à Prague, et en fin de semaine un Conseil réunissant les chefs d'Etat et de gouvernement : les 27 vont chercher à trouver la parade au «non» irlandais.

16/06/2008 à 07:29 TU


Irlande / Union européenne

Le Premier ministre irlandais Brian Cowen, le 13 juin 2008.(Photo : Reuters)

L'idée d'un second référendum fait son chemin

Le « non » irlandais au référundum sur le Traité de Lisbonne oblige les capitales d'Europe à s'interroger. Les journaux européens font leurs gros titres sur ce nouveau « mauvais coup » pour l'Europe. Pour le Premier ministre, arrivé au pouvoir le mois dernier la victoire des opposants au Traité constitue un premier échec.

14/06/2008 à 16:56 TU

Irlande / Union européenne

Le «non» des Irlandais plonge l'Europe dans le doute quant à l'avenir de la Constitution.(Photo : Reuters)

L'Irlande remet l'Europe en question

Une tempête sur l’Europe selon certains, un incident de parcours selon d’autres, la victoire du « non » au référendum irlandais sur le Traité de Lisbonne plonge l’Union européenne dans le doute depuis hier soir, avant peut-être de la plonger dans une nouvelle crise.

14/06/2008 à 15:22 TU


Le choc et les conséquences

Irlande/Union européenne

L'Europe dans la tourmente

14/06/2008 à 06:08 TU

Irlande/Union européenne

Référendum irlandais : c’est «non»

13/06/2008 à 21:30 TU

Les réactions et les explications

Alan Dukes

« L'opinion publique est, je le crois, assez contente.[..] Les partisans du non croient qu'ils ont marqué un point important de principe.[...] Mais la motivation n'est pas claire du tout. »

14/06/2008

Alpha Smith

« Nous sommes contre une Europe de profit et de guerre, et pour une Europe du peuple, de la démocratie et pour la paix. »

14/06/2008

Brian Cowen

Le plus gros défaut de Brian Cowen, c'est qu'il n'a pas un physique de playboy. Les opposants au Traité de Lisbonne ont créé une effigie grandeur nature en lui donnant l'apparence d'un petit bonhomme rougeau.

14/06/2008

Jean-Claude Juncker

« Le peuple irlandais n'a pas rendu service, ni à son identité ni à l'Europe. »

14/06/2008

Les explications de la gauche irlandaise

« La coalition de gauche a un scénario pour l'Irlande et pour l'Europe. »

14/06/2008

Les possibles alternatives des Européens

« Pour l'instant, tous affirment qu'il faut poursuivre les ratifications ce qui pourrait amener à proposer à l'Irlande de rester en dehors des hypothétiques avancées futures. »

14/06/2008

François Xavier Priollaud

« Le Traité de Lisbonne ne pourra pas s’appliquer à l’Irlande, la question qui se pose c’est s’il faut trouver un accord juridique particulier entre les Européens, si les 26 autres Etats membres venaient à ratifier le Traité de Lisbonne… »

13/06/2008

José Manuel Barroso

« Ne nous précipitons pas maintenant avec des scénarios dont on ne connait pas toute la portée ».

13/06/2008

Patrick O'Reilly

« L’Europe s’est construite par la volonté des peuples, et la volonté des peuples ce n’est pas la volonté des eurocrates à Bruxelles ! »

13/06/2008