[16/11/2005]
[09/11/2005]
[08/11/2005]
[07/11/2005]
[05/11/2005]
[04/11/2005]
[03/11/2005]
[02/11/2005]
Audio
«Pour parler du malaise des banlieues, le président français a su trouver les mots.»
[15/11/2005]
«Le gouvernement veut prolonger l'état d'urgence de trois mois.»
[14/11/2005]
«Ce qui a permis le retour au calme c’est d’abord la mobilisation citoyenne des élues et de la population.»
[14/11/2005]
«Le couvre-feu et autres mesures doivent être utilisés avec prudence.»
[14/11/2005]
«Il aurait fallu commencer par des paroles d'humanité. Reconnaître la tragédie de ces ghettos. Des paroles de compréhension étaient préalables.»
[12/11/2005]
«Nous avons des populations qui refusent le modèle français.»
[10/11/2005]
«Je ne pense pas que mettre le feu à des quartiers fait partie du pacte républicain.»
[10/11/2005]
«En France, en ce moment, neuf projets de revitalisation urbaine sont financés par l'Union européenne.»
[09/11/2005]
«Chacun souhaite le rétablissement de l'ordre. Nous ne sommes pas en guerre civile.»
[08/11/2005]
«Cette révolte dirigée contre l'Etat est une spécificité française.»
[08/11/2005]
«Y'a des mots qui sont pas bons à entendre vis-à-vis de toute la jeunesse qu'on a ici.»
[07/11/2005]
«Ces quartiers, difficiles au départ, s'enlisent plus vite que les autres.»
[07/11/2005]
«Ces mamans sont persuadées que la violence n'est pas une solution.»
[08/11/2005]
«Nous payons trente ans de ségrégation territoriale sociale ethnique.»
[07/11/2005]
«Le couvre-feu est une des mesures permises par l'état d'urgence.»
[08/11/2005]
«Un couvre-feu qui ne sert à rien.»
[08/11/2005]
«Les Français attendent les paroles du chef de l'Etat.»
[06/11/2005]
«L'odeur âcre des incendies enveloppe les cités de Seine-Saint-Denis.»
[05/11/2005]